pasphoto »
Questions (les) que je me pose et que je te pose castor avisé !
1/ C'est pourquoi ils ont abandonné les pass online ?
2/ Pourquoi Sony a refusé l'anti occasion au risque de se faire un peu remonter par les éditeurs.
3/Pourquoi Microsoft n'a pas fait machine arrière avant ?
enfin quel avenir pour les éditeurs ?
EDIT : les dlc ne sont pas une seconde vie d'un titre ?
Question que je te pose pasphoto :
Ou diable m'as tu entendu être favorable a la mort de l'occasion.
Je t'expliquais pourquoi cela déranger plus dans le JV qu'ailleurs, j'ai dit que comprendre n'étais pas cautionner et que je suis pas pour...
Donc tes questions la sont Hors Sujet je suis désolé...
Mais je vais te donner quelques réponses :
Pourquoi les pass sont abandonnés ? Par Sony ?
-> Il font payer le mode en ligne sur PS4, et se disent que ça la fou mal.
Pourquoi abandonnés par EA ?
-> Parce qu'ils se sont rendus compte que ça rapporter moins que prévu et qu'au contraire, ça rendait les gens un peu frileux.
Ils ont essayé, ça les arrange pas plus, ils laissent tomber.
Y'a pas de secrets...
Pourquoi Microsoft ne revient pas au Système ?
-> Le taulé sur le net et le fait que Sony ne les suivent pas les en empêche par soucis de survie de leur future console.
Pourquoi Sony a refusé l'anti-occasion ?
-> Parce qu'ils ont choisit de donner aux joueurs ce qu'ils voulaient, et qu'il ne faut pas oublier que les développeurs les plus virulents envers le marché de l'occasion ne sont que la minorité bruyante ! Dans les faits, les pass online, 4 éditeurs les ont utilisés seulement ! (EA, Sony, Ubi, Codemasters... Square a tenté le coup et as annulé direct (avec Hitman, code mis dans les boites puis décision 1 semaine avant la sortie de ne pas les utilisés)) et personne d'autre n'as suivi...
La majorité des devs s'en b*anlent au final de l'occasion, et les studios "moyens" au contraire y voient un moyen pour les gens de ce procurés leur 1ers titres a bas coût pour qui sait leur vendre le 2nd titre en neuf...
Quel avenir pour les éditeurs ?
-Le même que les Majors de cinéma, a savoir, une minorité bruyante qui va g***ler contre l'occasion (comme la minorité bruyante des Majors sur le piratage), les gros qui vont être prisonniers du système et contrains de produire des triples A toujours plus durs a rentabilisé mais qui sortirons quand même parce que l'industrie en as besoin.
Les petits trouveront refuge sur les plateformes démat et vivrons très bien...
Bref, au final, la même chose, reste que les studios moyens eux auront les virages les plus difficiles a négociés.
Mais si l'industrie culturelle nous as prouvé une chose, c'est que ça râle, des voix (souvent minoritaires) g**lent toujours contre des concepts, ça s'inquiète plus ou moins légitimement pour son avenir, mais ça perdure toujours...